Comprendre le stress oxydatif avec l’écrivain François Légende

18/11/2021 | Les champions de la micronutrition

Le stress oxydatif concerne chacun d’entre nous et il est essentiel de comprendre ce stress. Découvrez l’explication simple et imagée de l’écrivain François Légende.

Le paradoxe étrange du stress oxydatif

Imaginons un pays merveilleux, où tout est propre et neuf. On trouve une multitude de maisons, plus ou moins grandes, de plain-pied ou avec des étages, dans lesquelles vivent des habitants seuls, ou en couple, ou des familles nombreuses, ou recomposées. Ces maisons sont toutes rutilantes, faites dans des matériaux solides et nobles, aussi bien à l’extérieur : ravalement sans défaut, fenêtres étanches, toits sans mousse ni tuiles absentes, qu’à l’intérieur : parquets cirés, murs peints sans bavure, ameublement design et équipements fonctionnels.

Évidemment, les gens qui occupent ces maisons sont actifs. Ils cuisinent, ils mangent et ils boivent, ils se lavent et lavent leur linge… Parfois, ils reçoivent des amis ou de la famille, ou ils sont invités. Bref, ils salissent, ils polluent et ils produisent des déchets. Tout ceci est normal.

Heureusement, chacun prend en charge l’entretien de sa maison, de façon responsable et avec tout le civisme possible.

Parfois aussi, malheureusement, les résidents se font cambrioler, c’est traumatisant. Ou ils subissent des intempéries, avec plus ou moins de dégâts, il faut du temps et de l’aide pour tout remettre en ordre. Mais bon an, mal an, grâce à un engagement individuel et collectif, le pays reste dans un état de propreté irréprochable et tout semble aussi neuf qu’au premier jour.

Pourtant, en y regardant de plus près, à force de nettoyer, les habitants laissent de petites rayures, par-ci par-là. À force d’astiquer, des rayures apparaissent sur le parquet ou sur les meubles, à force de lessiver pour enlever les tâches, les vêtements perdent leurs couleurs, les tissus deviennent fragiles. Et pareil à l’extérieur, à force de désherber la base des murs, quelques microfissures surgissent, à force de frotter les traces laissées par la pluie, le crépi devient terne et délavé. 

Nous sommes face à un étrange paradoxe : plus les gens s’activent à préserver leurs maisons, plus ils contribuent à les dégrader.

Chacun fait de son mieux, mais insidieusement, l’état des maisons décline, tout vieilli, jour après jour, et plus de jour en jour.

Maintenant, des fissures nettes apparaissent sur les murs, le nettoyage s’avère de plus de plus compliqué, les mauvaises herbes deviennent envahissantes. Les déchets s’accumulent dans la maison, les habitants ne parviennent plus à les évacuer, ils s’épuisent. Et les éboueurs sont débordés.

Alors, régulièrement des maisons sont abandonnées, puis rasées, et les habitants sont relogés dans une nouvelle maison, et le cycle recommence. Jusqu’au jour où…

François Légende / Écrivain

Comprendre le stress oxydatif

Ce pays, c’est notre corps, les maisons, ce sont nos cellules, et les habitants, ce sont les mécanismes biologiques du vivant. 

Ces mécanismes vitaux se produisent en continu dans nos cellules, afin d’assurer la production de molécules actives, comme les enzymes, les hormones ou les neuro-médiateurs, ou pour les mécanismes de défenses immunitaires. Tous ces processus biologiques s’articulent de façon complexe : la cellule se comporte comme une mini-usine, avec ses matières premières, ses produits intermédiaires et ses produits finaux, avec des ouvriers et des contrôleurs... Et bien sûr, ce dispositif requiert beaucoup d’énergie pour que les « machines » fonctionnent. Inévitablement, il y aura des déchets à évacuer et il faudra éviter la surchauffe de la cellule.

Pour être mis en œuvre efficacement, les mécanismes biologiques vont nécessiter la production de radicaux libres : ce sont des produits intermédiaires qui présentent le paradoxe d’être à la fois indispensables et toxiques ! En effet, les radicaux libres sont nécessaires au bon fonctionnement de notre organisme, en intervenant dans l’élimination des déchets cellulaires ou dans les mécanismes immunitaires. Mais ce sont également des composés extrêmement nocifs qui doivent être immédiatement neutralisés, quasiment dès leur production.

Nous faisons donc face à un double enjeu, paradoxal et contradictoire : produire des radicaux libres indispensables à la vie et, presque aussitôt, les neutraliser sous peine de voir nos cellules être attaquées par ces mêmes molécules instables et délétères.

Sans les radicaux libres, nous ne pourrions pas vivre une seule seconde, mais en même temps, ces radicaux libres nous font vieillir et nous empêchent d’être éternels.

On parle de stress oxydatif lorsque la production de radicaux libres est trop importante par rapport aux capacités protectrices des systèmes anti-oxydants. Plusieurs facteurs contribuent à augmenter la production de radicaux libres, et donc favorisent le stress oxydatif : certains comportements alimentaires comme la consommation excessive de graisses saturées ; le mode de vie : tabac, consommation excessive d’alcool, mauvaise gestion du stress ; certains facteurs environnementaux : pollution de l’air, polluants chimiques, rayonnements. Cette hyper-production de radicaux libres crée une instabilité cellulaire qui favorise les dysfonctionnements chroniques et dégénératifs.

Afin de neutraliser les radicaux libres, nous disposons de plusieurs mécanismes très efficaces et synergiques : ce sont les mécanismes anti-oxydants, qui ralentissent le vieillissement de nos cellules. Ces systèmes sont favorisés par un mode de vie sain et par une alimentation équilibrée, riche en acides gras poly-insaturés (Omega-3) et en polyphénols, correspondant globalement au régime méditerranéen.

Patrick Houlier / Docteur en Pharmacie

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